Les têtes de noeuds de la file du milieu

Je viens rapidement vous faire part d'un désagrément fort pénible qui m'exaspère au point de devenir injurieuse de façon assez... prononcée. J'ai fait pas mal de route ces jours derniers, pour me rendre chez ma grand-mère, la pas marrante, pas l'autre, puis chez mon père, d'où j'écris ces quelques lignes.

Ben, il est où mon kiwi ?

Je pars quelques jours, à bientôt...

Allez, des bises.

Post de feignasse

C'est les vacances et on va dire que je fais un peu la feignasse, parce que je ne suis pas en mode "creusage de ciboulot" pour vous raconter des trucs d'enfer. Comme j'ai été plusieurs fois "taguée" par de charmantes blogueuses, je vais répondre en vrac, à 11 questions, comme c'est la coutume, mais piochées parmi toutes celles posées.

Un tour en forêt

Entre deux passages de gros nuages gris, lourds, noirs, qui se vident comme une éponge qu'on essore, il y a eu quelques merveilleuses éclaircies hier après-midi. Avec Crapaud-poilu, nous sommes allés faire un tour en forêt, pas très loin de chez nous.

La solitude du fou rire

Je repousse l'écriture de ce billet depuis des semaines. Je sens qu'il y a là un piège, un truc dont je rêve de parler, mais qui est tellement difficile à transcrire qu'au bout du compte, toi lecteur, tu vas t'emmerder et si ça se trouve, tu ne reviendras plus. Allez, je me lance, tant pis.

Dis donc, t'as cru qu'la vie c'était un kiwi, ou bien ?

Les loulous, un big MERCI pour vos gentilles attentions. Je ne m'épanche pas souvent, parce que ce n'est pas dans ma nature, mais parfois, quand on sent de l'attention de ceux qui nous entourent, ça fait du bien de laisser couler un peu, ça vide le trop plein. Comme quand on a bu un truc à bulles (une binouze, au hasard), et qu'on rote un coup. Tu vois, ça va mieux.

Demain est un autre jour

Tous ces commentaires hier soir, plus le temps d'écrire autre chose.

Pas très envie d'écrire autre chose non plus, faut avouer...

Si, si, ça va aller.

Simplement, y'a des jours où... y'a de jours sans.

Des jours où toute la journée, tu réponds "ça va" avec un chouette sourire, alors que dans le dedans de toi, c'est tout écroulé.

Des jours où le doute est si puissamment présent, que la plus petite certitude devient poussière.

Des jours où l'obligation que tu sens de faire rire les gens se fait pesante. La grosse rigolote, des fois, elle a juste envie de pas être drôle.

Allez, sans rancune.

Et si tu me croises, ne me dis pas "tiens, ça n'a pas l'air d'aller", même si c'est pour être gentil. Je sais que tu es gentil et que pour certains, tu t'inquiètes, mais là, j'ai juste envie de pas aller bien, et qu'on ne me le fasse pas remarquer.

Demain, c'est vendredi kiwi, et je te promets, ça sera un beautiful day.

Célébrations

Un jour, quand je serai grande, j'essaierai de comprendre pourquoi, quand I've got the blues, la seule chose qui semble pouvoir me réconforter est nécessairement sucrée et/ou grasse. Quand je suis d'humeur maussade (tu as vu Dominique, j'essaye d'employer un vocabulaire châtié), je ne sais pas pourquoi, spontanément, mon coeur et mon estomac ne vont pas vers des haricots verts vapeur.

La Coopérative du Lapsus, le retour

Souviens-toi, c'était en janvier dernier, j'avais procédé à la création officielle de la Coopérative du Lapsus, organisme à but non lucratif (pour l'instant), visant à récupérer les bévues de langage, les lapsus, les mots inventés ou utilisés "maltapropos", comme on dit.

Et sinon, la vie c'est un kiwi ?

Hé, mais c'est vendredi, hé mais c'est LE vendredi 13, celui que au choix tu espères toute la journée que tu vas gratter un Morpion pour partir au soleil, ou acheter des puteshoes, ou celui que tu espères juste que ta schkoumoune va finalement prendre fin, parce que là, ok, ça suffit.

Super pouvoir

Il y a quelques semaines, Kaka Proute m'avait posé plusieurs questions, auxquelles je n'ai pas encore répondu, d'abord parce que, bon, j'ai pas trop de temps, et puis aussi, parce que c'est pas trop mon truc les "tags". Mais il y en a une que j'ai adorée : Si tu avais un super pouvoir ?

La Foire aux Monstres

Parfois, je me demande si ce n'est pas le retour de ces attractions de forains qui effrayaient ou faisaient sourire les braves gens au 19ème siècle.... La femme à barbe, les soeurs siamoises, les nains, l'homme-éléphant, la femme-singe, l'enfant sauvage, étaient exhibés comme phénomènes de foire. Ils intriguaient, dégoûtaient et faisaient sans doute naître ce sentiment rassurant de n'être "pas comme eux".

Les poils qui se dressent

Je n'arrive pas bien à comprendre par quel mécanisme étonnant de simples notes de musique peuvent créer des sensations physiques si puissantes. Comment expliquer que des notes de pianos, de violons, de guitares, de pipeau, quelques mots mis bout à bout peuvent créer des frissons ou faire monter l'eau dans les yeux ?

Non, mais t'as cru qu'la vie c'était un kiwi ?

EDIT de 19h54 : Ayéééé, je suis prête. Désolée pour ce faux bond ce matin, mais bon, c'était pas prêt quoi.... Pas fâchés ?

A l'évidence...

Il a bien fallu se rendre à l'évidence... Mes voeux du début d'année ne se sont toujours pas réalisés. J'ai les poils qui poussent, à vitesse normale, régulière, sans s'arrêter. Des coureurs de fond, finalement.

Concours de Kiwi !

Alors, j'air pris une grande décision. Je vais organiser un concours.

Et puis aussi, parce que j'ai des trucs à raconter, mais là, j'ai pas le temps d'écrire, là tout de suite, donc c'est histoire de meubler...

Histoire de frigo et de main au cul

Samedi après-midi, je me lève de la sieste, pleine d'entrain et le pli de l'oreiller sur la joue. Ouh la, je t'entends déjà en train de penser que je suis une feignasse, mais j'ai fait une micro sieste de 15 minutes, juste bien réparatrice, et puis j'ai bouquiné un peu. Il n'est pas tard, 14h45, je me fais un café et go !